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Coulthard sera présent à chaque Grand Prix
Malgré sa retraite au terme de 15 saisons frucuteuses en F1, après le Grand Prix du Brésil 2008 , l'écossais David Coulthard sera toujours dans les paddocks en 2009, en qualité de pilote d'essais et consultant pour l'écurie Red Bull.
"Je serai encore présent à Melbourne." a déclaré "DC". "Je me rendrai à tous les Grands Prix, j'effectuerai tous les déplacements, dans la même routine. La seule différence, c'est que je ne serai pas au volant de la voiture. Je ne serai plus aussi physiquement impliqué que je l'étais auparavant. Je veux rester en forme et en bonne condition physique, mais je ne veux pas pousser la recherche de l'excellence comme j'étais tenu de le faire lorsque je me préparais pour la course ou lors des 5 minutes juste avant le départ du Grand Prix."
"Aujourd'hui, je n'aspire qu'à vivre ma vie quotidienne, mais que celle-ci soit toujours aux côtés de la Formule 1." ajoute-t-il.
"Il y aura la pression de la course en moins." Répond-il à la question de ce qui va changer. "Et même si vous êtes impliqué dans un sport qui requiert que vous soyez constamment à 100%, vous pouvez passer très vite de la grâce à la disgrâce publique !
Lorsque vous avez du succès en course, c'est fantastique, car tout le monde est derrière vous. Mais lorsque vous accumulez les contre-performances ou les échecs, vous pouvez vous retrouver assez vite tout seul, parce que si c'est de votre faute que vous semblez avoir lâché l'équipe et tous vos supporters, vos détracteurs, vos adversaires, ceux qui guettent le moindre de vos faux pas ou qui pensent que vous n'êtes pas assez bon, tous ceux-là vous taxent d'idiot à la moindre erreur."
"Je serai encore présent à Melbourne." a déclaré "DC". "Je me rendrai à tous les Grands Prix, j'effectuerai tous les déplacements, dans la même routine. La seule différence, c'est que je ne serai pas au volant de la voiture. Je ne serai plus aussi physiquement impliqué que je l'étais auparavant. Je veux rester en forme et en bonne condition physique, mais je ne veux pas pousser la recherche de l'excellence comme j'étais tenu de le faire lorsque je me préparais pour la course ou lors des 5 minutes juste avant le départ du Grand Prix."
"Aujourd'hui, je n'aspire qu'à vivre ma vie quotidienne, mais que celle-ci soit toujours aux côtés de la Formule 1." ajoute-t-il.
"Il y aura la pression de la course en moins." Répond-il à la question de ce qui va changer. "Et même si vous êtes impliqué dans un sport qui requiert que vous soyez constamment à 100%, vous pouvez passer très vite de la grâce à la disgrâce publique !
Lorsque vous avez du succès en course, c'est fantastique, car tout le monde est derrière vous. Mais lorsque vous accumulez les contre-performances ou les échecs, vous pouvez vous retrouver assez vite tout seul, parce que si c'est de votre faute que vous semblez avoir lâché l'équipe et tous vos supporters, vos détracteurs, vos adversaires, ceux qui guettent le moindre de vos faux pas ou qui pensent que vous n'êtes pas assez bon, tous ceux-là vous taxent d'idiot à la moindre erreur."
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